Suzanne Lay, Zibeline, août 2013

« C’est peu dire que le jeu de Maude Gratton rend justice à cette écriture : en faisant entendre chacune des voix dans leur indépendance, mais aussi dans leur interdépendance, puisque les jeux d’imitation sont rendus à la perfection. La jeune claveciniste, dotée d’une technique irréprochable, est parvenue à rendre audible « à l’oreille nue » l’omniprésence du thème royal ainsi que la structure complexe des canons et fugues successifs. »